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31 mars : Mobilisation EREA, montrons notre opposition

Rassemblement devant l’Hôtel de Région
MERCREDI 31 mars à 11 heures

La FSU appelle les personnels à se mobiliser le 31 mars 2021 devant le conseil régional.

Sous la co Présidence du Rectorat et du Conseil Régional, le Conseil Académique de l’Éducation Nationale (CAEN) a acté  la décision de fermeture de l’Établissement Régional de l’Enseignement Adapté des Sables d’Olonne.

En développant un argumentaire totalement à charge contre l’établissement et ses personnels, en imaginant une fermeture d’établissement public comme seule solution à des problèmes sérieux depuis plus de 10 ans, en ayant décidé avant même toute consultation, en se montrant incapable d’indiquer concrètement ce que pourraient être les perspectives d’avenir pour les élèves et la structure même d’un EREA public pourtant indispensable à l’accueil d’élèves au profil particulier en Vendée, le Rectorat n’a montré aucune volonté de dialogue et n’a ouvert aucune autre perspective que celle de la fermeture de l’établissement.

Pire, le Rectorat ne tient pas compte du vote du CAEN, qui s’est prononcé par 20 voix contre la décision de fermeture (9 pour et 7 abstentions), montrant ainsi combien le dialogue social au sein de l’Education nationale relève d’une bien piètre mascarade …

Confortée par le vote du CAEN, La FSU ne renonce pas à sa demande de surseoir à cette décision inacceptable pour les élèves et leurs familles, pour les personnels et pour le service public d’éducation en Vendée. La FSU continuera de peser en toutes circonstances pour exiger un moratoire permettant d’envisager, comme avancé par le Conseil Régional, l’ouverture d’un nouvel EREA en Vendée.

Pour peser dans les décisions, la FSU Pays de la Loire appelle les personnels des EREA de l’académie mais aussi tous les personnels de l’éducation nationale à se mobiliser le 31 mars 2021 devant le conseil régional de 11h à 14h.

La FSU a déposé un préavis de grève pour cette journée de grève, journée de défense du service public d’éducation, de l’enseignement adapté, des élèves en grande difficulté scolaire et des personnels sommés de muter.

Modalités d’inscription :

  • Transport gratuit pris en charge par les organisations syndicales
  • Inscription par courriel :
    – pour la Sarthe : fsu72@fsu.fr (indiquer le nombre de personnes, un numéro de téléphone et un mail)
    – pour la Vendée : fsu85@fsu.fr (indiquer le nombre de personnes, un numéro de téléphone et un mail)
    – pour le Maine et Loire : fsu49@fsu.fr ( (indiquer le nombre de personnes, un numéro de téléphone et un mail)

PERSONNELS VACCINÉS = écoles, collèges, lycées ouverts en toute sécurité !

École ouverte, personnels vaccinés

Devant l’ampleur de la crise sanitaire, il faut une mobilisation à la hauteur pour protéger tous ceux et celles qui sont aujourd’hui en première ligne comme les personnels de santé, de services et commerces de première nécessité ou ceux assurant et contribuant au service public, notamment d’éducation… Maintenir ouverts les écoles, les collèges, les lycées est notre préoccupation à toutes et à tous. Mais ceci ne peut pas se faire au détriment de la santé des personnels, des élèves et de leurs familles ! Cela passe par une remise à plat de la campagne et de la stratégie de vaccination.

Les écoles et les établissements scolaires restent des lieux clos dans lesquels élèves et personnels se côtoient tout au long de la journée multipliant ainsi les risques de contagion. Et alors que la situation épidémique s’aggrave, que le nombre de cas positifs en milieu scolaire augmente, que le variant anglais touche davantage les jeunes … Rien.

Pas de tests à grande échelle, pas de révision du protocole et de la règle des cas contacts ou des décisions plus strictes de fermeture de classe, pas d’allègement général des effectifs, aucune mesure améliorant l’aération et aucun personnel recruté pour renforcer la désinfection des écoles et établissements scolaires…

L’école est donc plus contaminante que les autres lieux collectifs. Il y a bien urgence à renforcer la protection des élèves et des personnels.

La priorité de vaccination pour les personnels promise par le ministre de l’Éducation nationale lui-même n’est toujours pas mise en place. Elle doit devenir effective.

J’exige l’accès au vaccin pour tous les personnels, je signe la pétition.

Je signe la pétition

Les AED mobilisés

Communiqué intersyndical

Les vies scolaires ne peuvent plus tenir ! Elles sont au bord de l’implosion. Leurs personnels sont en première ligne tous les jours. L’absence de créations de postes d’AED et de CPE et l’augmentation des effectifs dans le second degré en 2020 et en 2021 conduisent à des vies scolaires sous-dotées et à des conditions d’exercice inacceptables.
Cela s’ajoute à des conditions de rémunération et d’emploi indignes des missions exercées : les salaires sont largement insuffisants ; les temps incomplets sont le plus souvent imposés ; les AED sont exclus du versement des primes REP et REP+ ; l’indemnité compensatrice de la CSG n’est pas versée à de nombreux AED qui y ont pourtant droit ; les AED sont soumis à des pressions continuelles et à la menace de non-renouvellement de leur contrat.

Monsieur le ministre de l’Éducation nationale ne répond à aucune revendication alors que plus d’un millier de vies scolaires ont été en grève à plusieurs reprises. Ces revendications font de plus écho à l’urgence de prise en charge d’une jeunesse aujourd’hui délaissée et qui risque de payer le prix fort de la crise sociale et à la nécessité d’augmenter les recrutements
pour faire face aux hausses d’effectifs encore à venir.
Nos organisations syndicales SNFOLC, SNES-FSU, SNUEP-FSU, CGT Educ’action, Sud Education soutiennent les mobilisations et seront aux côtés des AED pour exiger :

  • une amélioration des conditions de travail avec une diminution du temps de travail,
  • des créations de postes supplémentaires et pérennes,
  • une augmentation des salaires,
  • le versement des primes REP et REP+,
  • et l’ouverture de discussions pour des évolutions statutaires contre la précarité des AED

Infos aux AESH sur leur salaire et les PIAL

La grille de rémunération a évolué depuis le 1er janvier 2021. Pour autant, vos salaires du mois de janvier et du mois de février n’ont pas vraiment évolué. La FSU informe les AESH de l’Académie de Nantes.

Information salaires

La grille de rémunération a évolué depuis le 1er janvier 2021. Pour autant, vos salaires du mois de janvier et du mois de février n’ont pas vraiment évolué.

 Pourquoi ?

  • La décision de l’évolution de la grille a été faite lors d’un Comité Technique Académique du 18 janvier ce qui ne permettait pas le versement sur la paie de janvier.
  • les arrêtés de changement d’indice n’ont pas été envoyés aux AESH pour valider le changement d’indice.

 Quand cela va-t-il apparaître sur la fiche de paie ?

  • En fonction de votre rattachement administratif (lycée de Laval, lycée du Mans ou SAE du Rectorat), l’évolution ne fera pas forcément à la même date. Cela dépendra de la capacité des services administratifs à gérer ces changements.

 Qu’est-ce que les services administratifs doivent gérés ?

  • L’envoi des arrêtés de chaque AESH au PIAL (ou à vous directement). Cet arrêté devrait être ensuite renvoyé sur la boîte électronique de chacun des AESH.
  • Les boîtes électroniques professionnelles n’étant pas accessibles par tous les AESH, une requête a été faite au service informatique pour permettre, normalement, l’envoi d’un courrier postal informant les AESH des modalités d’accès à la boîte électronique professionnelle.
  • L’arrêté de changement d’indice devra être signé puis renvoyé par voie postale pour valider la nouvelle paie. Sans retour de ce courrier par de changement d’indice => pas de revalorisation du salaire.

 Quel indice aurais-je ?

  • Nous invitons à reprendre le courriel envoyé le 8 mars dans lequel vous retrouverez la nouvelle grille indiciaire.

Exemple d’une situation concrète :
 Problématique : « Je viens vers vous pour un renseignement concernant la nouvelle grille indiciaire mise en vigueur. Après étude de celle-ci et consultation de mes bulletins de salaires, je constate que je suis toujours à l’indice 330 et ce depuis Janvier 2020. Je suis en poste depuis mai 2009 et en CDI depuis le 4/06/2015, cela fera donc bientôt 6 ans… »

 Réponse de la FSU : vous allez effectivement changer d’indice. Si je compte bien vous aurez pour les 5 premiers mois de l’année un indice à 346 puis sur la paie de juin l’indice 352 (pour 26/30ème). Ces changements devraient être effectifs avec rétroactivité sur la paie d’avril, au mieux…. Le fait que vous soyez à l’indice 330 correspond à l’indice plancher précédent qui est en-dessous du SMIC depuis le 1er janvier 2021. Vous devez normalement constater le versement d’une indemnité différentielle SMIC pour compenser une rémunération en-dessous du SMIC…

 Analyse de la FSU :

  • Le délai de mise en place de la nouvelle grille de rémunération prend un délai inacceptable. Cela ne vient pas du fait des personnels administratifs mais de l’insuffisance de personnels travaillant au service des AESH et de l’absence d’outils informatiques adaptés.
  • Nous dénonçons depuis des années l’écrasement de la grille de rémunération qui faisait qu’une AESH débutant le métier avait la même rémunération qu’une AESH ayant plus de 10 ans d’ancienneté. La FSU dénonce globalement une rémunération totalement insuffisante pour vivre de ce métier.

Autre sujet : les PIAL

Le ministère impose un contrat unique pour tous les AESH rattachés à un PIAL. Pas de contrat individualisé en fonction d’une situation particulière.

Les PIAL devraient également se mettre en place pour les AESH accompagnant des élèves dans l’enseignement privé.

GUIDE FSU POUR AGIR ET DÉFENDRE LES DROITS DES PERSONNELS DE LA FONCTION PUBLIQUE

SPÉCIAL LIBERTÉ D’EXPRESSION

Ce que change la loi :

  • Une pression accrue sur les personnels
  • Une nouvelle sanction disciplinaire
  • Recours accru aux contractuel-les
  • Pression sur les carrières

Quels sont vos droits ?

  • Droit d’expression
  • Droit à l’autonomie professionnelle
  • droit de grève
  • droit syndical

Ce que la FSU revendique toujours :

  • Développer les instances paritaires
  • Respect et renforcement des droits syndicaux
  • Arrêt des politiques managériales d’intimidation
  • Abrogation de la Loi

Téléchargez le guide n° 4 Spécial Liberté d’expression

LE 6 AVRIL 2021 MOBILISONS-NOUS POUR LES SALAIRES, L’EMPLOI ET LES MISSIONS PUBLIQUES

Communiqué intersyndical, le 24 mars 2021

Communiqué intersyndical, le 16 mars 2021

Si la crise sanitaire a de nouveau confirmé le rôle irremplaçable de la fonction publique et de ses agent·es, force est de constater que, pour l’essentiel et en dépit de discours lénifiants, le pouvoir exécutif poursuit sa politique libérale néfaste aux services publics.
Certes, contraint par la situation que nous traversons, il a fait quelques concessions par le biais de mesures permettant certaines améliorations.
Mais enfin, celles-ci demeurent parcellaires, quand elles ne sont pas source d’iniquités.
Surtout, sur nombre d’enjeux fondamentaux, le président de la République et le gouvernement maintiennent un cap gravement préjudiciable à la fonction publique.
Cela se traduit notamment par :
– La mise en oeuvre de la loi de transformation de la fonction publique attentatoire à la démocratie sociale, porteuse d’accroissement de la précarité, d’allongement de la durée du temps de travail et, plus globalement, qui remet en cause le statut général ;
– Le maintien et même l’aggravation de restructurations lourdes de danger pour les missions publiques ;
– La prolongation insupportable du gel de la valeur du point entraînant une perte de pouvoir d’achat inédite et un « rendez-vous salarial » dont la date, inconnue, semble s’éloigner chaque jour un peu plus ;
– Plus largement, des budgets 2022 qui se préparent sous le sceau de l’austérité avec, entre autres, de nouvelles suppressions d’emplois au programme.
Tout cela est absolument inacceptable !
C’est pourquoi, les organisations syndicales CGT – FA-FP – FSU – Solidaires souhaitent construire et élever le rapport de force pour qu’une tout autre politique soit mise en oeuvre.
C’est en ce sens qu’elles appellent à faire du 6 avril prochain une journée d’interventions et d’actions sous toutes les formes.
Cette étape transversale dans le processus de mobilisation sur les trois versants de la fonction publique pourra se traduire par des interpellations des élu·es et des préfets, des rassemblements, la grève partout où elle sera possible, des motions, etc.
À cette occasion, ensemble nous revendiquerons :
››› L’abrogation de la loi portant transformation de la fonction publique avec le maintien et le renforcement des commissions administratives paritaires et des comités d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail ;
››› La défense et le renforcement du statut général des fonctionnaires fondé sur les principes d’égalité, d’indépendance et de responsabilité garantissant aux citoyen·nes et aux usager·es la mise en oeuvre d’un service public impartial ;
››› L’octroi dans les projets de lois de finances et de financement de la Sécurité sociale 2022 des moyens budgétaires nécessaires à l’accomplissement effectif de toutes les missions dévolues aux trois versants constitutifs de la fonction publique et à la mise en oeuvre de services publics de pleine compétence et de proximité implantés sur l’ensemble du territoire y compris en Outre mer ;
››› L’arrêt des suppressions d’emplois, la mise en oeuvre d’un plan pluriannuel de recrutement de fonctionnaires, la titularisation des agents non titulaires ;
››› Le dégel immédiat de la valeur du point d’indice, la revalorisation significative des traitements, des salaires, des pensions et des retraites, l’égalité salariale entre les femmes et les hommes et la revalorisation des filières à prédominance féminine. C’est dans ce sens que nos organisations syndicales réitèrent leur demande d’ouverture d’une négociation salariale dans la fonction publique ;
››› L’égalité dans la fonction publique et la fonction publique comme outil de l’égalité au sein de la société.
D’autres choix sont nécessaires et possibles !
Partout où c’est possible, nos organisations appellent à construire aussi cette première journée de mobilisations avec les citoyen·nes, les usager·es, les associations, les élu·es, qui luttent pour la défense, la reconquête et le développement des services publics et de la fonction publique.
D’autres organisations syndicales de la fonction publique sont en cours de réflexion pour appeler les personnels à l’action. Nos organisations sont favorables à un tel élargissement et sont disponibles pour y concourir.

Le 6 avril 2021,
Ensemble, dans l’unité et la convergence
la plus large, personnels de la fonction
publique, citoyen·es et usager·es
AGISSONS ET PROPOSONS
UN AUTRE AVENIR
POUR LA FONCTION PUBLIQUE !

Compte rendu FSU du CTSD 44 – 11 mars 2021

I) Présentation des créations et suppressions de poste dans le 2d degré du département

Bilan : + 84 Équivalent Temps Plein (ETP) (créés) et -84 ETP (supprimés) au niveau des collèges, lycées généraux, technologiques et professionnels. Ce qui donne un différentiel de 0 et ce qui réjouit Le DASEN.
La FSU voit cette interprétation comme rapide et simpliste de ce différentiel et une vision purement comptable. Alors qu’en regardant de plus prêt les DHG des établissements, il est clair que lorsque le nombre d’heures postes diminuent, les HSA augmentent dans le même temps, précarisant ainsi certains postes, augmentant la charge de travail des enseignant·es en enseignement supplémentaire. Que l’ouverture du Lycée Professionnel de Nort-sur-Erdre à un nouveau niveau, amène d’office l’ouverture de postes mais ce ne sont pas des créations de postes supplémentaires pour répondre aux besoins qui existent déjà.
Selon le DASEN, il y a moins de BMP en collège dans le département. il en précise pas par rapport à quoi…

• Concernant le collège à St Mars La Jaille :
Question : Qu’est -il devenu de la DHG ? Est-ce celle proposée par l’établissement ou celle votée lors du CA qui a été retenue ?
Réponse : M. le DASEN rappelle que la répartition de la DHG dans l’établissement est de la compétence pédagogique du chef d’établissement seulement.
Selon la FSU, celle qui a été votée est celle qui a été envoyée à L’Inspecteur Académique donc celle que les collègues ont réalisée.

• Question sur l’ouverture du collège Loire-Auxence :
Question : Pourquoi n’y a-t-il pas de création de poste en technologies, en arts plastiques, en éducation musicale… ?
Réponse du DASEN : Sur ces enseignements il n’y aura pas de temps complet d’où la non création de poste pour la rentrée 2021, seulement 9 divisions ouvriront. Il n’y aura que des BMP avec des temps partagés avec le collège d’Ancenis et/ou des collèges du 49
.
• La FSU estime qu’il est tout à fait possible de créer des postes comprenant un complément de service comme il a pu être procédé précédemment dans d’autres disciplines.

Question : Concernant la vie scolaire dans ce nouvel établissement : y aura-t-il un transfert d’AED, de CPE, d’infirmières, quelles informations avez-vous ?
Réponse du DASEN : La procédure de transfert de poste est maintenue pour la rentrée 2022. A cette rentrée, il y aura bien un poste de CPE de créé.
• La FSU estime qu’il était aussi possible et préférable de créer un poste de CPE dès la rentrée 2021 afin de mettre en place de façon efficiente la vie scolaire pour cette première année d’ouverture.
Le DASEN précise qu’un travail est mis en place pour l’implantation du poste infirmier au niveau départemental. Il précise qu’il y a également de prévue une principale, un·e principal-adjoint et un·e CPE pour cette rentrée 2021. il n’est pas sûr que l’académie de Nantes bénéficie de création de poste CPE venant du ministère.
• La FSU déplore que le recrutement du CPE ne se fasse pas sur la création d’un nouveau poste.
Le DASEN ajoute qu’il ne connaît pas encore l’enveloppe départementale des moyens en AED pour connaître ceux attribués à ce nouveau collège.

II) Affectation des stagiaires enseignants

A la rentrée 2021, il devrait y avoir 130 supports stagiaires à mi-temps et 33 supports stagiaires à temps complet. Ces nombres peuvent encore évoluer.
Question : La FSU demande combien y aura-t-il de M2 alternant et de non alternant ?
Réponse : Le DASEN reste vague sur la réponse en annonçant qu’il y aura très peu de non alternant dans l’académie dans le premier degré. Les stagiaires filés et massés seront en alternance. Il n’y aura pas d’AED non alternant. Les M2 alternant seront suivi par les « MAT ». Les M2 non alternant seront suivi par les PES.

III) Questions diverses :

1) En l’absence de médecin de prévention, pourriez vous nous rappeler comment et par qui sont prises les décisions relevant de la santé de nos collègues (bonifications mouvement, aménagement de postes, décisions de DRH,…) ?
Réponse : Le DASEN déplore le manque de médecin de prévention et précise que les appels à candidature sont restés infructueux. Pour le mouvement, s’il y en avait déjà un l’avis médical est conservé inutile de revoir un médecin de prévention. S’il n’y en avait pas encore l’avis du médecin de famille peut être utilisé.
La FSU constate que M. le DASEN déplore la situation mais n’avance rien sur les intentions et la stratégie du rectorat pour améliorer cette situation.
2) Une ouverture de SEGPA est envisagée à Savenay, quand aurons-nous des éléments concernant les postes de PE, DACS, PLP et PLC?
Réponse : L’ouverture de la SEGPA n’est prévu que pour la rentrée 2023.
3) Les écoles sélectionnées pour entrer dans le dispositif CLA ont été informées le jour même du CTA sans avoir, pour nombreuses d’entre elles, d’informations sur le contenu et les attendus de ces contrats.
Quelles informations sont faites auprès de nos collègues ?
Quelles démarches d’entrées dans ce dispositif pour les écoles intéressées ?
Combien d’ETP pour la Loire Atlantique sur les 10 créés au niveau académique ?
Quels autres moyens seront mis en œuvre dans ce cadre ?
Réponse : Le DASEN informe que le choix des établissements s’est réalisé en plusieurs étapes : expérimentation de 3 ans
– il y a eu la détermination des établissements (8 écoles, 4 collèges et 2 LP) par recteur, DASEN…
– le rectorat va mettre en place un CLA avec ces établissements. Il n’est pas question de modifier la géographie de l’éducation prioritaire
.
Ce sont donc les autorités académiques qui proposent aux établissements d’entrer dans ces expérimentations (La FSU rappelle que l’accord du CLA doit être voté en Conseil d’Administration).
Dans le premier degré : les moyens prévus sont 10 ETP en plus, des IMP à taux 3 et des crédits pédagogiques.
Dans le second degré, il y aura 100 IMP à taux 3, des moyens complémentaires pour devoirs faits, pour les fonds sociaux et des crédits pédagogiques.
En ce qui concerne les moyens RH : les enseignant·es de ces établissements auront accès au vivier 1 pour accéder à la classe exceptionnelle si ils et elles sont éligibles et une bonification particulière pour les mutations. Le DASEN dit que pour ce type de moyens, le parallèle a été fait avec l’éducation prioritaire.
Ces CLA seront mise en œuvre en septembre 2021 et ce pour 3 ans d’expérimentation

La FSU s’inquiète du fait que ces moyens alloués à ce dispositif le sont pour la première année et qu’il n’y a, pour le moment, rien de prévu pour les 2 années suivantes !

4) Quelle information est faite aux collèges et lycées, sélectionnés pour le dispositif CLA concernant la durée des contrats ? Les contrats peuvent-ils être rompus avant la fin de la période entérinée ?
Réponse : Le DASEN répond qu’il a déjà répondu à cette thématique.
• La FSU constate qu’il évite la question.

5) Nous souhaiterions avoir un point détaillé sur l’état du non remplacement dans le premier degré pour la période passée (janvier-février).
Réponse : Les remplacements de Janvier et février ont été tendus.

6) Nous sollicitons de nouveau une information hebdomadaire aux représentant·es des personnels concernant la situation sanitaire (nombre de cas, fermeture,…). Nous sommes le seul département de l’académie à ne pas la recevoir.
Réponse : Le DASEN estime que l’information a été donnée avant les vacances. Il précise qu’au vu de la menace des variants, il va y avoir des classes en évictions.

7) Des tests salivaires de grandes ampleurs sont mis en place dans le département. Pourriez vous nous préciser les critères de choix des écoles, les moyens mis en place par l’ARS – pour le versant prélèvement – et vos services – pour le versant administratif – pour ces tests ?
Réponse : Les testes salivaires commencent jeudi et vendredi de cette semaine dans 4 écoles de Nantes : Ledru Rollin, Batignolles, Mutualité, Longchamp. Ces écoles ont été déterminées en lien avec l’ARS, qui a regardé les territoires avec un taux d’incidence le plus élevé. Il y aura aussi dans le Castelbriantais (taux d’incidence de plus de 400), autour de Blain, autour de Saint Nazaire et dans un coin du pays de Retz.
Les personnels (enseignant·es et des collectivités territoriales) peuvent aussi se faire tester.
Aucun enseignant·e ne sera chargé du prélèvement. Ce seront des personnes formées pour cela « prêtées » par l’ARS. Il y a aura ensuite des médiateurs et médiatrices qui vont d’abord être formés pour le prélèvement. Il y aura 4 à 8 médiateurs et médiatrices dans les écoles.
Les enseignant·es auront comme charge de travail de relever l’autorisation parentale et de vérifier que n° de sécurité sociale est le bon.

• Contrairement au DASEN, la FSU estime que cette charge de travail n’est pas neutre dans le travail supplémentaire que la situation donne aux enseignant·es, directrices et directeurs d’école.

8) Des enseignant·es contractuel·les sont de nouveau recruté·es dans le premier degré. Nous souhaitons donc avoir des détails sur ces recrutements: leur nombre, la durée des contrats proposés, les affectations envisagées,… .
Réponse : Le DASEN précise qu’il a eu l’autorisation pour le recrutement de 36 contractuel·les dans le 44. 1 enseignant ne sera pas reconduit car il ne donnait pas satisfaction. Un nouvel appel à candidature sera fait. Dossier suivi par Bernard Legall

9) Une suppression de poste non votée par un CA peut-elle être validée en CTSD ?
Réponse : Le DASEN confirme que oui à l’issue d’un second CA. Même s’il y a un autre vote contre, le PER DIR est souverain…la rentrée scolaire doit avoir lieu.

10) Suite à l’ouverture du collège de Varades, des transferts de poste en lettres et en mathématiques seront-ils possibles à partir du Maine et Loire ?
Réponse : oui, des transferts de postes seront possibles.
11) Au dernier CTSD, vous aviez expliquer pouvoir donner des dotations supplémentaires aux petites structures. Le Collège de Vallons de l’Erdre entre-t-il dans les conditions fixées (5h sont nécessaires pour l’option Latin) ?
Réponse : Il garde des heures en réserve pour ce genre de besoin. Et le collège Louis Pasteur entre dans ces critères.

12) Des directives ont-elles été données dans les lycées pour une reprise des cours à 100 % ?
Réponse : Il n’y pas eu de directives données mais le DASEN dit avoir été proactif auprès des proviseur·es.

13) Dans de nombreux départements, un GT sur les compléments de services est mis en place. Ce groupe de travail nous semble nécessaire en Loire Atlantique. Est-il prévu à l’agenda de vos services ?
Par ailleurs, comment organisez-vous la gestion des compléments de services afin d’en limiter le nombre d’établissement pour les personnels ? Certain·es sont aujourd’hui affecté·es sur trois voire quatre établissements.
Réponse : Le DASEN dit qu’il ne le fera pas car ça ne sert à rien de le faire.

14) Qui va enseigner la technologie dans les établissements où sont supprimés les postes dit vacants ?
Réponse : selon le DASEN les postes ne sont pas supprimés, ils passent au mouvement.
Question : Est-il possible de préciser la notion de « vacants » dans poste vacant » ?
Réponse : les postes sont vacants suite au départ en retraite d’un collègue
La FSU précise que lorsque le support de poste est supprimé il ne peut passer au mouvement

15) Nous avons de nombreux cas d’établissements : les collèges La Noë Lambert, Pont rousseau, Aristide Briand, Louis Pasteur que nous souhaitons traiter directement lors du CTSD.
Pont Rousseau, manque IMP EPS et physique et 5h (c’est statutaire) CNED pour enfants du voyage
Pour moyens allophone et gens du voyage : moyens diffusés en fonction des besoins identifiés

16) Question : Comment expliquer les 5 suppressions de postes en maths en lycée et de 3 postes de technologie en collège ?
Réponse : c’est la remontée des chefs d’établissement.
Question : même question en sciences physiques ?
Réponse : Le DASEN dit qu’il y a peut-être moins de groupe donc moins de besoin d’enseignant·es.
Il y a eu une deuxième enveloppe « Devoirs faits » distribuée début février. Le DASEN demande que les établissements qui ne les consomment pas toutes les fassent remonter pour les redistribuer aux établissements qui en ont besoin de plus que l’enveloppe.
Question : demande d’un GT sur les modalités de répartitions des IMP. constat que les missions liées aux IMP augmentent mais sans moyens en plus (ex : PIX, …). La demande est faite d’augmenter les IMP.
Réponse : Le DASEN dit que les chefs d’établissement font remonter les mêmes remarques. La DSDEN ne peut distribuer que ce qu’elle reçoit. Le nombre est fluctuant chaque année mais très restreint.
Question : Complément d’informations sur les tests salivaires ?
Réponse : Les tests salivaires (RTPCR- nécessitent un labo) du 1er degré ne se substituent pas aux tests nasopharingés (antigénique – ne nécessitent pas de labo) dans le 2d degré. Il n’est pas prévu de faire de tests PCR dans les établissements scolaires.
Question FSU : Pour les tests salivaires : on demande une quantité de travail importante aux enseignant·es et particulièrement à celles et ceux chargé·es de direction pour mettre en place ces tests salivaires. Quelle compensation est prévue ?
Réponse : Le DASEN envisage que chaque enseignant·e y participe, c’est pourquoi, il ne pense pas que la charge administrative soit si importante que ça. Le DASEN conseille d’essayer de solliciter la mairie. La logistique administrative c’est l’inspection administrative qui s’en charge et ça représente le plus gros du travail selon le DASEN.
La FSU constate que le DASEN a une vision trop généraliste et peu précise de ce que l’application demande en terme de temps.
Le DASEN ajoute que dans le second degré, les AED recruté·es en novembre et dont les contrats s’arrêtaient aux congés de février seront reconduits jusqu’à fin mai. Cela concerne 94 AED dans le département. La ventilation est faite et partie dans les établissements.

CTSD 44 du 11 mars 2021 – Déclaration FSU 44

Depuis plusieurs années, la politique menée à l’Éducation Nationale consiste à diminuer les moyens au détriment des conditions de travail des personnels et des conditions d’enseignement pour les élèves.
La crise sanitaire a lourdement affecté la scolarité de nombre d’entre eux et la réussite de tous les jeunes nécessite un investissement conséquent dans le Service Public d’Éducation.
A rebours de cette urgence, nous avons constaté le 22 janvier dernier que 212 501 312,60 € n’avaient pas été dépensés sur le budget 2020 et qu’ils étaient reportés sur le budget 2021.
Dans la situation actuelle, la FSU s’indigne qu’on puisse faire de telles économies sur le dos de la jeunesse et des agent·es du service public et qu’on ne réponde pas aux besoins patents ni des élèves et ni des personnels.
Pour la FSU, l’heure est plus que jamais à un plan d’urgence pour le Service Public d’Éducation passant par une véritable programmation pluriannuelle, ambitieuse, de créations de postes dans tous les degrés, dans les services administratifs, techniques, sociaux et de santé, et de revalorisation des
carrières et des rémunérations de tous les métiers de l’éducation.
L’augmentation flagrante du nombre d’HSA au détriment des heures postes a très largement compliqué le travail autour de la répartition. Elle déstabilise les équipes. En effet les collègues du second degré se
retrouvent avec une démultiplication des compléments de services à effectuer parfois loin de l’établissement de référence. Les conditions de travail, déjà misent à mal, se dégradent encore un peu plus chaque année. Les HSA ne créent pas de postes mais de la précarisation.
La FSU demande la transformation de ces HSA en heures postes.
Suppression de postes « vacants », complément de services, pénuries d’heures postes… les motifs de contestations sont nombreux et les demandes d’audiences se multiplient pour obtenir plus de moyens
et surtout pour travailler dans des conditions descentes ! Quand le gouvernement réalisera t-il que ces besoins sont réels ? Quand fera t-il enfin le choix d’une ambition pour l’enseignement publique avec des dotations adaptées ?
Le manque de moyens alourdit la charge de travail de tou.tes et rend le quotidien professionnel des personnels de plus en plus difficile à supporter.
Les dotations complémentaires en contractuel-les pour le premier degré et en AED pour le second degré, attribuées en novembre s’est arrêtée après les vacances de février. En l’absence de dotations complémentaires pour les remplacements et compte-tenu de la situation sanitaire, les écoles et les
établissements ne font plus face aux arrêts maladie. De nombreuses vies scolaires, déjà épuisées, ne pourront mener à bien leurs missions.
La FSU demande que ces contrats soient reconduis dans les plus brefs délais dans un premier temps et avant un recrutement massif.
La FSU s’inquiète des conséquences de ce manque de moyens sur les conditions d’apprentissages des élèves et leur réussite scolaire.
L’absence de concertation avec les personnels et leurs organisations syndicales représentatives sur la gestion de la crise sanitaire à l’Education Nationale et l’absence d’anticipation sur les possibles évolutions placent personnels et usager-eres dans l’incertitude permanente et créent un contexte particulièrement anxiogène.
L’expérimentation concernant l’éducation prioritaire prévoit une contractualisation dont la logique va en faire éclater le cadrage national . Aucune garantie sur le maintien de l’actuelle carte de l’Éducation
Prioritaire au-delà de la rentrée 2021 n’est donnée. Le financement exceptionnel annoncé ne s’applique qu’à la première année de l’expérimentation. Il ne consiste dans le 1er degré qu’en 10 ETP
et dans le second degré qu’en crédits pédagogiques, IMP, heures supplémentaires exceptionnelles, renforcement du dispositif « Devoirs Faits », des fonds sociaux et de l’école ouverte. Aucune création d’emploi n’est prévue dans le second degré et celles prévues dans le premier degré ne sont pas à la hauteur de l’ambition affichée de réduction des inégalités scolaires. L’élaboration des projets pour obtenir ces quelques moyens supplémentaires accroîtra la charge de travail, déjà lourde, ainsi que les
pressions sur les personnels. Pour la FSU, la labellisation EP est une reconnaissance d’un contexte spécifique au travers de quelques indicateurs nationaux significatifs, permettant l’octroi de moyens pour les écoles, les établissements et une reconnaissance pour les agent·es. La FSU demande l’abandon de cette expérimentation et revendique un élargissement de la carte de l’Education Prioritaire pour une politique ambitieuse visant la réussite de toutes et tous les élèves, dans un projet global de démocratisation.
Dans le premier degré, seulement 40 postes sont créés en Loire Atlantique pour la rentrée 2021 or le dédoublement des GS en REP+ et la création des CP à 24 dans toutes les écoles devraient largement absorber cette dotation.
La FSU demande toujours un plan d’urgence pour l’école… afin d’éviter un recrutement de contractuels à la va vite.
Le P/E départemental est le plus bas de tout l’académie et le P/E académique est l’un des 8 plus bas au niveau national et est largement en dessous de la moyenne nationale. C’est pourquoi nous demandons un plan de rattrapage d’un minimum de 200 enseignant·es pour la rentrée prochaine. La baisse du nombre d’élèves ne résoudra en rien le problème. Par ailleurs comment comptez vous prendre en charge l’augmentation du nombre d’élèves en grande difficulté scolaire puisqu’il n’y aura aucun moyen disponible. Les personnels des RASED, qui depuis 2008 se sont vu·es amputé·es de plus de 70 collègues, ne peuvent pas assurer tous les besoins de prise en charge et des élèves se voient donc actuellement sans accompagnement possible faute d’enseignant·es. Cette situation est
inacceptable, surtout lorsque l’on sait que d’autre choix sont possibles. Comment croire dans ces conditions que la réussite de toutes et tous les élèves est une préoccupation gouvernementale.
Et enfin au lendemain de la Journée internationale des droits de la Femme nous constatons avec regret que toute présence féminine a disparue de la direction de la DSDEN.

AESH : contre la précarité, contre les PIAL, en grève le 8 avril !

Télécharger le tract FSU

Les rendez-vous de l’académie de Nantes

Communiqué de presse intersyndicale, le 12 mars 2021

En réponse à l’obstination du ministre qui refuse de s’engager vers une amélioration des conditions d’emploi des AESH et en réponse à la dégradation de leur mission depuis la création des PIAL, les organisations CGT éduc’action, FNEC-FP-FO, FSU, SNALC, SNCL-FAEN, SUD éducation appellent les personnels à la grève le 8 avril.

Le ministre répète que l’inclusion scolaire des élèves en situation de handicap est une priorité de son ministère. Pourtant, il fait le choix de maintenir dans la précarité les 110 000 AESH qui jouent un rôle essentiel dans l’accompagnement de la scolarité de ces élèves.

Malgré la promesse faite il y a un an d’engager un chantier sur le temps de travail et la rémunération, les AESH continuent de subir des temps de travail incomplets, pour 24 heures de travail hebdomadaires, soit 60% en moyenne, pour un salaire net de 760 euros par mois. Donc en-deçà du seuil de pauvreté !

À défaut d’un cadre d’emploi reconnaissant leurs missions, ils et elles sont condamné- e-s à exercer sous contrat, sans pouvoir accéder à un statut leur assurant une garantie d’emploi, de carrière et de formation. On est encore loin d’un véritable métier.

La mise en place des PIAL a considérablement dégradé leurs conditions de travail, puisque les AESH sont désormais appelé-e-s à intervenir dans plusieurs écoles ou établissements scolaires, à multiplier les accompagnements d’élèves. Ces services partagés demandant plus d’adaptabilité et de flexibilité, nuisent à la qualité de l’accompagnement, conduisant à du saupoudrage. Il s’agit surtout d’augmenter le nombre d’élèves accompagné-e-s en conservant le même nombre de personnels !

Un système perdant pour tous : AESH, élèves, enseignant-e-s et la réussite du service public d’éducation !

Nos organisations syndicales ont alerté l’administration de la situation alarmante des AESH à tous les échelons. L’exaspération, le sentiment d’abandon et la souffrance s’expriment partout et se traduisent par des mobilisations très suivies dans les départements, en particulier depuis la mise en œuvre des PIAL.

Pour nos organisations, il y a urgence à :

-engager une revalorisation des salaires et la possibilité de contrats à temps complet pour permettre aux AESH de vivre dignement de leur travail :
-l’abandon des PIAL et de la politique de mutualisation des moyens

-créer un véritable statut de la Fonction Publique pour reconnaître le métier d’AESH -recruter massivement des AESH pour permettre aux élèves ayant des notificationsd ’être accompagnés à hauteur des besoins
Le sort réservé aux AESH est le symbole d’une politique de paupérisation qui touche l’ensemble des personnels depuis 10 ans.

Les syndicats CGT éduc’action, FNEC-FP-FO, FSU, SNALC, SNCL-FAEN, SUD éducation :

  • soutiennent tous les rassemblements appelés dans les départements le 24 mars ; -appellent tous les personnels AESH à faire entendre leurs revendications à l’occasion d’une journée de grève nationale le jeudi 8 avril ;
  • appellent tous les personnels de l’Éducation nationale à se joindre à cette mobilisation, à participer à cette grève au côté des AESH pour faire valoir l’ensemble des revendications en défense des postes, des statuts, des salaires en direction des IA-DASEN, des rectorats et du ministère.

L’intersyndicale appelle à la tenue d’intersyndicales locales pour préparer et réussir la grève du jeudi 8 avril.

Le jeudi 8 avril, soyons nombreuses et nombreux en grève, dans les manifestations et les rassemblements et en Assemblées Générales pour construire les suites de la mobilisation !

Pour un vrai statut, pour l’abandon des PIAL, toutes et tous devant les DSDEN, les rectorats et le ministère, en grève !

La satisfaction des revendications des AESH serait un point d’appui pour tous les personnels !

Contractuel.les : vœux pour la rentrée 2021

Le rectorat a adressé aux collègues contractuel·les actuellement en poste un mail d’information sur l’ouverture du serveur LILMAC en vue de la saisie des renouvellements de candidature et d’expression des vœux pour une affectation à la rentrée 2021.

Ouverture du serveur : du 8 mars au 6 avril 2021

La note de service présente les informations habituelles de la procédure : les démarches pour vous connecter, le système d’affectation par les services de la DIPE 5, les barèmes, le guide de saisie et une notice sur l’indemnisation du chômage. Cette note est inchangée par rapport à celle de l’année dernière.

Il faut savoir que les vœux, qu’ils soient d’établissement, de commune, de zone ou de département, pour un type précis d’établissement ou non, n’engagent en rien le rectorat dans la future affectation. En effet l’employeur étant le rectorat, il peut proposer un poste sur la totalité de l’académie, même si en général il se limite à une aire géographique d’une cinquantaine de km de rayon.

Même si les élu.es FSU ne participent plus aux commissions d’affectations du fait de la loi de « Transformation » de la Fonction Publique, ils restent en contact régulier avec les services de la DIPE 5.
N’hésitez pas à nous contacter en cas d’interrogations, de problèmes lors du remplissage de LILMAC (ou plus tard avec Servir) ou lors des affectations :
 par mail à nontitulaires@snuep.fr